Chronique de RIP – T. 4 Albert, de Gaet’s (dessins Julien Monier).
« La troisième chose qu’il faut savoir sur Dolores… C’est qu’elle notait tous ses secrets… Dans de nombreux journaux intimes. Ainsi, dès que quelqu’un lui mentait… La décevait, l’humiliait… En gros, la blessait… Son nom apparaissait dans ses carnets. »
Gaet’s (dessins Julien Monier), RIP – T. 4 Albert, Éditions Petit à Petit, 2021, p. 37.
Motivations initiales
Cette série est bien trop addictive pour que la question se pose seulement de savoir si on va lire le tome suivant. Non seulement la fin de la série attend déjà dans la PAL, mais là, il faut savoir, une bonne fois pour toute…
Synopsis
Cette fois, on suit Albert. Qui, depuis qu’il a « rencontré » Dolores, à l’occasion d’une intervention, est tombé radicalement amoureux. D’une jeune femme morte. C’est suffisamment bizarre pour se dire que, potentiellement, ce n’est pas forcément la seule bizarrerie de la vie de ce personnage… Et, en effet…
Avis
Difficile de dire autre chose que pour les tomes précédents : ça gère ! Le mystère qui entoure chaque personnage de cette équipe de marginaux qui ne répondent à aucun critère identifié… Cette fois-ci, on suit Albert, dont on sait qu’il n’a pas toujours paru totalement équilibré, ni dans les tomes précédents, ni dans celui-ci…
Le principe même de cette série consiste à observer les histoires individuelles de chacun des personnages, ce qui permet, progressivement, de nous tracer une image d’ensemble de cette drôle d’équipe. Chaque personnage à ses propres mystères, ses propres secrets… et, pour tout dire, ses psychoses ou ses névroses…
Bon, cela dit, il m’a semblé que ce 4e tome était un peu plus brouillon que les précédents. En même temps, il reste de nombreuses réponses à obtenir. De nombreuses énigmes à résoudre. Allez, il va falloir en finir…
Pour en savoir plus
Retrouvez la présentation de ce livre sur le site de l’éditeur.

