« Lorsque le bousier bouge, lui avait dit Hosteen Nashibitti, sache que quelque chose le fait bouger. Et sache que son mouvement affecte le vol du moineau, que le corbeau oblige l’aigle à modifier son vol, que l’aile rigide de l’aigle infléchit la volonté du Peuple du Vent, et sache que tout cela nous affecte toi et moi, ainsi que la puce sur le chien de prairie et la feuille du peuplier. »
Tony Hillerman, Là où dansent les morts, Éditions Rivages, 1994 (20e édition), p. 82.
