Drame

Tristesse et beauté

« À dix-sept ans, deux mois environ après son accouchement prématuré et sa tentative de suicide, Otoko avait été internée dans un hôpital psychiatrique et enfermée dans une chambre dont la fenêtre portait des barreaux de fer. Oki avait appris la nouvelle par la mère d’Otoko, mais n’avait pas été autorisé à parler à la jeune fille. »

Yasunari Kawabata, Tristesse et beauté, Éditions Albin Michel, 1981, p. 37-38.

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