« Ô Grimoire, disons-nous une chose : on fait ce qu’on veut. »
Philippe Jeanada
Cette année encore, nous voici partis pour Lyon, Quais du polar. Une bien belle adresse, n’est-il pas ? Et c’est l’occasion de partager avec vous la rencontre avec Philippe Jeanada, autour de son roman La serpe, rencontre organisée par les éditions POINTS et la revue PAGE des libraires, que nous remercions chaleureusement !
L’année dernière déjà, nous avions eu l’occasion de participer à l’une de ces rencontres, petit moment à part avec un auteur. Alors, lorsque nous avons vu passer les messages proposant de postuler, cette année encore, nous y sommes allés en toute confiance. Il s’agissait de choisir notre style de polar préféré parmi quatre propositions. Le choix s’est porté sur « faits divers ». Jusque-là, aucune idée de quel auteur peut se cacher derrière, la surprise est au rendez-vous.
Quelques semaines plus tard, nous apprenons avec joie que nous avons été retenus ; puis, encore un peu plus tard, que la rencontre, c’est avec Philippe Jeanada. Dont La petite femelle figure sur nos étagères, pas encore lu. Et puis nous recevons La serpe. Un beau pavé, même en poche, 635 pages bien pesées (la chronique d’hier !).
Alors, samedi midi, direction le lieu de la rencontre. Un petit café, et puis c’est parti. Comme toujours dans ces cas-là, le début est marqué par une sorte de gêne, chacun attend que l’autre commence. Mais Philippe Jeanada ne laisse pas le silence s’installer, il inverse les rôles et met son audience en situation de lui expliquer comment nous en sommes tous arrivés là, sur ce bateau. Sans rien faire, la glace est rompue, et la première question fuse.
Et le temps s’écoule, comme passé à écouter un ami raconter sa dernière aventure. Ou un conteur égrenant une histoire, à la fois agréable et instructive. Comment choisir son sujet ? Selon quels critères ? Travail journalistique, historique, littéraire : quels recoupements, quelles différences ? Le temps file, l’heure est déjà passée, et l’on n’a qu’une envie, embarquer l’auteur dans une tournée des bars, l’écouter, encore et encore. Mais Quais du polar l’attend. Chaleureux et détendu, il signe les livres que la plupart lui tendent.
Un excellent moment, qui va pouvoir se poursuivre à travers la lecture des autres livres de l’auteur ! Merci Monsieur Jeanada, merci les éditions POINTS, merci PAGE des libraires !


J’ai également La petite femelle sur mes étagères et toujours pas lu….. Je crois qu’il y a le côté pavé mais surtout le fait que je ne suis pas trop versée dans les romans policiers etc… Mais sûrement qu’un jour je franchirai le pas 🙂
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Il est également dans mes étagères… J’espère un jour trouver le temps ! 🙂
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J’adore les récits de ces moments hors du temps !
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