« Amzou s’activa, il fallait faire les deux autres chambres. Il fut tenté de passer par la porte intérieure dont il avait aussi le passe, mais son expérience l’en empêcha. Peut-être que l’homme qui l’occupait était revenu. Il sortit, faisant mine d’être un employé de ménage. Quelqu’un montait l’escalier. Amzou s’avança vers l’escalier et l’aperçut : c’était lui, l’homme de la chambre. »
Marc Bowman, La bombe d’Alger, Éditions Pierre de Taillac, 2018, p. 118.