Drame, Roman noir

Vivement la guerre qu’on se tue

Chronique de Vivement la guerre qu’on se tue, de Vincent Courcelle-Labrousse.

« L’escorte de Monchalin se disloqua, laissant son champion isolé. L’énorme Monchalin fit encore un pas, en même temps que l’écaille de sa peau faisait se tourner ses yeux jaunes sur Béresse.

Deux animaux non répertoriés se trouvaient face à face : c’était les Galapagos. Mais il n’y avait pas de danger immédiat : ces deux espèces ne frappaient que dans le dos.

D’ailleurs, Béresse s’approchant de Monchalin lui tendit la main. Lequel, d’un pas lourd, avança et donna à son tour la sienne. Ils étaient maintenant l’un contre l’autre. Ils se parlaient à l’oreille. Ils étaient amis en réalité ? »

Vincent Courcelle-Labrousse, Vivement la guerre qu’on se tue, Slatkine & Cie, 2022, p. 183.

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