« – Salutations, jeune homme.
Le Héron avait doté son gardien d’une voix incongrue pour son rôle, plus légère et amicale qu’on s’y serait attendu, vu la nature de la créature. Ses yeux de pierre me jaugèrent avec lenteur de la tête aux pieds. »
Daniel Polansky, Le baiser du rasoir, Folio SF, 2013, p. 58.