Chronique de Le Château des soupirs – T.2 La Baronne de minuit, d’Isabelle Duquesnoy.
« En réalité, le chaos ne grondait pas partout en France. On festoyait beaucoup à chaque massacre, mais l’Assemblée nationale parvenait à améliorer le quotidien du peuple, autant que je pouvais en juger. »
Isabelle Duquesnoy, Le Château des soupirs – T.2 La Baronne de minuit, Éditions du Seuil – Verso, 2025, p. 341.
Lire la suite « Le Château des soupirs – T.2 La Baronne de minuit »Chronique de Le Château des soupirs – T. 1 L’Oiseleuse de la reine, de Isabelle Duquesnoy.
« Naturellement, je devais bénir cette chance de pénétrer le monde fermé de l’aristocratie, mais j’étais d’autant plus incapable de me départir d’une sorte de gaucherie, m’empêchant de me sentir l’égale de cette amie. »
Isabelle Duquesnoy, Le Château des soupirs – T. 1 L’Oiseleuse de la reine, Verso, 2024, p. 290.
Lire la suite « Le Château des soupirs – T. 1 L’Oiseleuse de la reine »Chronique de La Redoutable veuve Mozart, de Isabelle Duquesnoy.
« Les mères qui embrassent leurs enfants sur la bouche sont celles que personne n’embrasse plus à cet endroit. »
Isabelle Duquesnoy, La Redoutable veuve Mozart, Éditions Points, 2021, p. 88.
Lire la suite « La Redoutable veuve Mozart »Chronique de La chambre des diablesses, d’Isabelle Duquesnoy.
» Les formules magiques pour convoquer Lucifer étant récitées avec ferveur, Guibourg se masturba devant les cuisses de la marquise. Marie-Marguerite se détourna. Après trois ou quatre minutes, le sperme jaillit et fut recueilli dans le calice. Comme en échange, Mme de Montespan lui donna quelques gouttes de ses menstrues qu’elle avait apportées dans une tabatière. Et elle réclama une fiole de ce mélange de leurs fluides corporels.
– Pour verser dans la nourriture de Louis, murmura-t-elle. «
Isabelle Duquesnoy, La chambre des diablesses, Éditions Robert Laffont, 2023, p. 285.
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Chronique de La Pâqueline, d’Isabelle Duquesnoy.
Lire la suite « La Pâqueline »« Victor, j’ai juré de t’écrire mes souvenirs jusqu’au bout de leur histoire, mais je t’avoue que d’un coup, mes forces m’abandonnent. Je terminerai en rimes : demain, ou peut-être un autre soir, du corridor au fumoir, tu liras mon désespoir. »
Isabelle Duquesnoy, La Pâqueline, Éditions de la Martinière, 2021, p. 329.
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