Chronique de L’ombre du renard, de Nicolas Feuz.
« Tanja sortit son téléphone et montra la photo à Garcia. On y voyait le corps de la meurtrière du vieux bijoutier. Le tissu du survêtement de sport noir était déchiré au niveau du bras gauche. À l’intérieur du biceps, à proximité d’une coupure provoquée par l’accident, figuraient une lettre majuscule et une croix.
– A+ ? Qu’est-ce que ça signifie ?
– Comment veux-tu que je le sache ? »
Nicolas Feuz, L’ombre du renard, Slatkine & Cie, 2019, p. 75.