Chronique de La baston des Bleus et des Rouges, de Benjamin Leroy.
« Jouer ! Tison rouge adorait jouer, mais c’était avant, quand Barbe bleue et lui habitaient la même forteresse. Cet idiot ne s’apercevait jamais qu’il trichait. C’était toujours lui, Tison rouge, qui gagnait. À ce souvenir, un sourire se dessine sur son visage. »
Benjamin Leroy, La baston des Bleus et des Rouges, Éditions Père Fouettard, 2022, p. 13.
Lire la suite « La baston des Bleus et des Rouges »Chronique de Jeunesse, de Pierre Nora.
Lire la suite « Jeunesse »« Cela m’a fait réfléchir. Ce n’est peut-être pas un hasard si j’ai été historien de la mémoire. Et si j’ai lu l’histoire entière de la France à travers cette grille. Il y a peut-être une raison inconsciente à avoir fait du « lieu de mémoire » un instrument d’objectivation, de distanciation, de défamiliarisation de ces « lieux » si divers. »
Pierre Nora, Jeunesse, Folio, 2022, p. 63.
Chronique de Laurent tout seul, d’Anaïs Vaugelade.
Lire la suite « Laurent tout seul »« Quand maman lapin lui demanda si c’était bien dehors, il lui dit que oui, qu’il était allé au châtaignier et que, demain, il irait à la rivière.
« Sois prudent, mon lapin », dit maman.
Laurent lui donna un baiser :
« Tu sais, je suis grand maintenant. » »
Anaïs Vaugelade, Laurent tout seul, L’École des loisirs, 2022, p. 11.
Chronique de La princesse qui pue qui pète, de Marie Tibi & Thierry Manes.
Lire la suite « La princesse qui pue qui pète »« Chaque jour, elle rejoint Armand, le plus jeune fils du fermier. Avec lui, elle s’amuse comme une folle, à faire des concours de pets ou à gratouiller le bidon de si mignons porcelets. »
Marie Tibi & Thierry Manes, La princesse qui pue qui pète, Casterman, 2020, p. 8.
Chronique de Une nuit à Insect’Hôtel, de Claire Schvartz.
Lire la suite « Une nuit à Insect’Hôtel »« Le maître d’hôtel finit par leur trouver une chambre. Seul hic : elle est toute petite car prévue pour des insectes de taille réduite. Devant leur porte, il ajoute d’une voix grave : « Surtout, restez bien au chaud : le soir, il se passe des trucs bizarres, on parle d’une chose aussi géante que flippante qui hanterait les couloirs… »
Claire Schvartz, Une nuit à Insect’Hôtel, Les Fourmis Rouges, 2021, p. 14-15.
Chronique de Rouge, de Pascaline Nolot.
Lire la suite « Rouge »« Par conséquent, les habitants avaient dû se résigner définitivement à l’évidence : Malombre était damné, et ses filles, condamnées. Tout cela, par la faute originelle de la mère de Rouge. »
Pascaline Nolot, Rouge, Gulf Stream Éditeur, 2020, p. 70.
Chronique de Onze chatons dans un sac, de Noboru Baba.
Lire la suite « Onze chatons dans un sac »« Un gros monstre emporta le sac.
– Hi hi hi ! Ha ha ha ! J’ai attrapé ces stupides chatons vivants. Onze chatons dans un sac ! Hi hi hi ! Ha ha ha ! »
Noboru Baba, Onze chatons dans un sac, Éditions 4048, 2020, p. 23.
Chronique de Tonnerre de prouts !, de Antoine Guilloppé et Ronan Badel.
Lire la suite « Tonnerre de prouts ! »« C’est trop rigolo, au bord de l’eau, le gros prout de l’hippopotame fait s’évanouir les dames. »
Antoine Guilloppé et Ronan Badel, Tonnerre de prouts !, Éditions Gautier-Languereau, 2021, p.12.
Chronique de Sacrées sorcières, adapté par Pénélope Bagieu d’après Roald Dahl.
Lire la suite « Sacrées sorcières »« – Mais ce qu’elles ont toutes en commun, c’est leur dégoût… leur détestation… leur haine viscérale des enfants !!! Les enfants leur répugnent. Ils leur donnent envie de vomir. Une sorcière ne pense qu’à une chose : les faire disparaitre , un par un. Les anéantir. Les passer à la moulinette. Un enfant par semaine ! Minimum ! Sinon ça les met de sale humeur ! »
Pénélope Bagieu d’après Roald Dahl, Sacrées sorcières, Éditions Gallimard jeunesse, 2020, p. 40.
Chronique de Ma maman est bizarre, de Camille Victorine et Anna Wanda Gogusey.
Lire la suite « Ma maman est bizarre »« Ma maman m’a dit que certaines personnes pensent que les filles c’est moins bien que les garçons et que c’est pour ça qu’on est en colère. Moi j’aime bien être une fille, c’est super. »
Camille Victorine et Anna Wanda Gogusey, Ma maman est bizarre, La ville brûle, 2020, p. 25.
Blog littéraire
Les chroniques de bonnes humeurs...
L’envie de partager mes lectures et de parler également des auto-édités
Ô grimoire ! 