Chronique de La Nuit retrouvée, de Lola Lafon & Pénélope Bagieu.
« -Mais maman ! … Elle t’a draguée ! Hein, maman ? En fait elle te draguait, non ? »
Lola Lafon & Pénélope Bagieu, La Nuit retrouvée, Éditions Gallimard, 2025, p. 180.
Lire la suite « La Nuit retrouvée »Chronique de Ces lignes qui tracent mon corps, de Mansoureh Kamari.
« J’avais peur d’être tuée comme mes cousines, Houri et Fati, exécutées par le régime alors qu’elles n’avaient que 15 et 16 ans. »
Mansoureh Kamari, Ces lignes qui tracent mon corps, Éditions Casterman, 2025, p. 71.
Lire la suite « Ces lignes qui tracent mon corps »Chronique de Marcie, de Catie Baur.
« – C’est bizarre, j’ai voulu me déguiser, mais … je me sens incroyablement Marcie.
– C’est peut-être tous les autres jours que tu es déguisée… »
Catie Baur, Marcie, Dargaud, 2025, p. 104.
Lire la suite « Marcie »Chronique de Qu’est-ce qu’une femme, d’Élisabeth Badinter.
« La Grèce était gouvernée par les hommes éloquents ; et les courtisanes célèbres ayant du pouvoir sur les orateurs, devaient avoir de l’influence sur les affaires. »
Élisabeth Badinter, Qu’est-ce qu’une femme ?, Flammarion, 2022, p. 72.
Lire la suite « Qu’est-ce qu’une femme ? »Chronique de La Louve de Dêrsim, de Yasmina Kramer.
« – Nous menons une guerre qui représente la philosophie de la paix et de la démocratie, commence-t-elle. Cette guerre n’est pas seulement la nôtre, mais celle de l’ensemble de l’humanité. »
Yasmina Kramer, La Louve de Dêrsim, Éditions Pocket, 2024, p. 83.
Lire la suite « La Louve de Dêrsim »Chronique de L’inconduite, d’Emma Becker.
Lire la suite « L’inconduite »« J’en ai un peu ras le cul de faire le Gainsbourg de service. J’aimerais bien être la Jane Birkin de quelqu’un, pour une fois. C’est trop demander, putain, un type qui me regarde comme s’il n’avait jamais rien vu de plus beau ?
Emma Becker, L’inconduite, Éditions J’ai lu, 2023, p. 219.
Chronique de La chair est triste hélas, d’Ovidie.
Lire la suite « La chair est triste hélas »» Alors voilà ma réponse : ce que je voudrais, c’est un couple exclusif où chacun trouverait suffisamment de sources d’accomplissement dans sa vie personnelle pour ne pas avoir besoin de se disperser dans de basses relations adultérines ou des romances à la petite semaine. Et je voudrais qu’on m’aime moi, pour ce que je suis et non pour ce que je représente. «
Ovidie, La chair est triste hélas, Éditions Julliard, 2023, p. 134.
Chronique de Au moins le souvenir, de Sylvie Yvert.
Lire la suite « Au moins le souvenir »« Personne ne lit autant que lui, mais quand il a terminé un ouvrage, il lui en faut aussitôt de nouveaux, et les précédents ne sont plus qu’un encombrement. Il en va de même pour les objets, antiquités et sculptures. »
Sylvie Yvert, Au moins le souvenir, Editions Héloise d’Ormesson, 2021, p. 129.
Chronique de Les bâtardes, de Arelis Uribe.
Lire la suite « Les bâtardes »« Les jeunes filles des Bâtardes devront supporter d’être enfermées dans des cases en banlieue, moyennant le ressentiment social et les histoires générationnelles, les référents pop féminins des années quatre-vingt-dix dans l’imaginaire marginal. »
Arelis Uribe, Les bâtardes, Quidam Éditeur, 2021, p. 110.
Chronique de Femmes en colère, de Mathieu Menegaux.
Lire la suite « Femmes en colère »« J’ai eu peur pour ma vie, une peur animale, viscérale, paralysante. Ils se sont servis de moi, je les entendais m’insulter, leurs mains me frappaient les fesses, ils m’ont tiré les cheveux, empoignée, brutalisée, forcée encore et encore. Ils m’ont salie partout. Un déchainement de bruit, de violence, de douleur, de soumission, d’odeur de sueur et de porcherie. Et soudain le silence. »
Mathieu Menegaux, Femmes en colère, Éditions Grasset, 2021, p. 100.
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